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A 06H 1621 Aug. 09
DB au détour a écrit :
Au détour d’un chemin, je reviens vers vous en cette période de vacances…
Je me suis relu et lu lu, au détour d’une vague, je surf sur le net, dans un cybercafé, quel bonheur, de vous revoir, Bonjour…! vous redécouvrir, comme saisie au vol… Je ne parlerai plus de "violence", pas très fan de ce que j’ai pu écrire alors, j’avais oublié l’humour ressenti dans votre travail ? La "violence" de certaines de vos œuvres prennent la couleur d’une histoire simplement insolite qui, avec le temps, perdrait de la chair pour atteindre cette forme abstraite dont on peut dire, avec raillerie, "j’y comprends rien c’est du Picasso". Picasso devait peindre ses intimes frayeurs d’enfant ! Ce n’est pas possible autrement – la création !!...
l'humour vous sied… alors…
DB
A 09H 5917 Aug. 09
D a écrit :
c'est bien pratique de pouvoir rester anonyme sur ce site...Pouvoir te dire aux yeux te tous ce que je n'aurai peut être jamais osé. Je te connais depuis quelque temps déjà, mais chaque fois je réalise cette chance que j'ai de te connaitre justement, comme l'on déjà dit d'autre sur ce site. Tu apportes de l'amour et de la générosité à ceux qui t'entourent, sans jamais compter. Tu donnes, tu souris, tu illumines tous ceux qui te touchent. Tu es là pour ceux qui ont besoin de toi, tu es là pour tous, toujours, tout le temps. A ceux qui te blessent tu offres ta compréhension, ta douceur. A ceux qui te touchent de prêt ou de loin tu donnes envie d'aller plus loin, plus haut, tu tires, tu pousses, tu donnes aux autres le meilleur de toi et leur offre surtout le meilleur d'eux même. Moi je te regarde vivre et ça me donne envie de vivre. Nombreux sont sans doute ceux qui comme moi n'ont jamais osé te dire ça, parce qu'on crois tous que tu dois l'entendre mille fois par jour, parce qu'on croit que tu es forte tout le temps et que c'est évident. Mais je sais que tu es souvent seule dans cette foule. Tu as toujours été là pour moi, tu n'as jamais faillit. Comme pour les autres que tu as acceuillis dans ta vie. Ton amitié est mon bien le plus précieux. Je voulais donc te dire ici comme ailleurs que tu es une lumière. (Je t'appelle tout à l'heure)
D
A 11H 4309 Aug. 09
Philippe Véniel a écrit :
Pourquoi ?
Pourquoi tant de gravité, cette mélancolie seulement...alors que je suis assuré que tu as aussi une gaité, une danse qui donne de l'ardeur, un sourire qui donne au monde, des pâturages à perte de vue dans la poitrine...
Il est temps je crois de peindre les autres facettes, non ?
Des bises pour toi et un éclat de rire !
Philippe
PS: Voici mes bidules à moi:

Ci-dessous le lien de ma galerie - "Parfums de Violette" -
http://www.flickr.com/photos/veniel/
Veuillez cliquer sur (PROFIL) pour afficher mes contacts et
visiter les sites de mes amis et les amis de mes amis !
A 05H 1104 Aug. 09
mais de rien a écrit :
Mais de rien…
Vous savez jouez avec les émotions !!! avec les énigmes un peu… ?! beaucoup ?!!
Ce ne fut point un commentaire, mais tout simplement une émotion, suis nullissime en commentaire…! (c’est les « vacances » je vais voir mes mails… et je me ballade sur votre site là)
Derrière le paraître (mondain) il y aurait l’être !? la passion ! le feu qui couve sous la cendre !?... Un feu qui crépite que j’écoute là sur votre site, cette chanson que je connais dont j’ai oublié le chanteur, le titre, et puis je m’en tape, mais, je l’entends d’une oreille sérieuse, réfléchie et distraite, oui distraite car je suis comme un enfant devant ce virtuel qui ne me sied point, et quand on est enfant, on n’a pas le sens du mot et du temps, je ressens et perçois avec une conscience aiguë votre travail !! tout devient énigme, mystère, magique dans l’instant, oui, moment magique de la vie dans lequel je me trouve, cela crée un brouillard que je trouve délicieux ; mais, sur vos œuvres, la violence est trop présente, «violentissime», elles me parlent ; mais je n’ai rien à dire… je la connais… je la côtoie… L’énigme, le mystère, ce brouillard que je trouvais si délicieux s’efface petit à petit, je retrouve le monde un peu âpre… dans vos œuvres… et là mortellement j’essaie d’éclaircir le mystère, de reconstruire les pièces de cette énigme, l’énigme de l’énigme qui me pousse à vous répondre… Je sors d’une aventure artistique, un film, où je racontais la difficulté d’une femme artiste de créer… Et je me disais tout simplement qu’elle chance a cette jeune femme ici derrière mon écran d’ordi… ! Il n’y a aucun intégriste qui viendrait la violenté… Quelle chance… et surtout quel Talent !!!